Quartiers de Gilles Rivet
Les ancêtres de mon mari sont beaucoup moins dispersés que les miens, ils ont vécu dans la moitié Sud de la France. Mais une multitude de petites branches nobles en Aubrac et Gévaudan mènent bien plus loin…
Ici vous découvrirez les premiers degrés de la généalogie de mon mari, avec photos et origines géographiques.
Joseph Rivet (1890-1964) est né et a grandi à Châteauneuf-la-Forêt. De pure souche limousine, le berceau des Rivet se situe à Linards. | |
Léonne Leblois dite "Marie" (1894-1972), également limousine, est cousine germaine par sa mère avec son époux Joseph Rivet. | |
Jean Morioux (1876-1931) est également limousin. Le berceau de sa famille se situe à Eymoutiers. | |
Léonarde Delanne dite "Anna" (1882-1942) est également limousine. Elle est issue de mariages consanguins très serrés ! Ses deux grands-mères étaient sœurs et leur grand-père avait épousé la cousine germaine de sa propre mère. | |
Jean Chazot (1890-1977) est cantalien de Saint-Marc et des environs. | |
Marie Boussuge (1900-?) a ses origines dans le Cantal, la Lozère et la Haute-Loire. Elle a des ancêtres nobles dès la 4e génération. | |
Jean Jourdan (1903-1986) bien que cafetier à Paris, a ses origines dans le Cantal, la Lozère et l'Aveyron. Un marchand bottier, son aïeul de la 10e génération, est venu de Savoie s'installer en Lozère. | |
Fernande Vigier (1909-1999) a ses origines dans le Cantal et la Lozère. |
Quartiers d’Estelle Biron
Du XVIe siècle au XXe siècle, mes ancêtres ont vécu majoritairement dans la moitié Nord de la France, et également à l’étranger: Pays-Bas, Belgique, Luxembourg, Allemagne, Suisse et Italie.
Ici vous découvrirez les premiers degrés de ma généalogie, avec photos et origines géographiques.
André Biron (1904-1984) est né et a grandi à Paris. Il était gantier. Il était auvergnat par son père et tout à la fois parisien, normand, champenois, bourguignon, poitevin, orléanais, picard par sa mère. | |
Germaine Frantz (1905-1984) est née à Bagnolet d’un père lorrain (ascendance également en Allemagne, au Luxembourg et au Tirol) et d’une mère parisienne aux origines diverses: Paris, Auvergne, Perche, Bugey et Belgique. Elle était corsetière. | |
Joseph Pellet-Langlais (1877-1932) était savoyard. Il est monté travailler à Paris, où il a rencontré son épouse de vingt ans plus jeune que lui. Puis il est rentré en Savoie s’occuper de la ferme familiale. Il a un peu d'ascendance franc-comtoise et italienne. | |
Marie-Louise Gonthier (1898-1962) était Morvandelle, mais aussi fille et petite-fille d’enfants placés par l’Assistance Publique de Paris dans la Nièvre, ce qui fait qu’elle a aussi des origines normande, mayennaise, lyonnaise, artésienne et belge. Après la mort de son mari, elle quitte la Savoie et rentre s’installer avec ses enfants dans son village natal. Elle était ouvrière. | |
Victor José Rahault (1893-1928) est né à Rio-de-Janeiro au Brésil où ses parents se sont mariés l’année qui a suivi sa naissance (ils avaient déjà un premier fils né en 1891 à Paris, qui décèdera lors de la Guerre 14-18). Son père était briard, champenois et normand et sa mère avait des origines diverses: Picardie, Bourgogne, Maine, Perche et Gâtinais. Il était ajusteur-mécanicien. | |
Louise Joséphine De Boé dite « Louisette » (1898-1981) est née en région parisienne. Elle était à moitié belge par son père et sa mère avait des origines diverses: Maine, Perche, Gâtinais, Picardie et Bourgogne. Elle a épousé le cousin germain et arrière-petit-cousin de sa mère. Elle était la dernière blanchisseuse d’une longue lignée ! | |
Fidel Irénée Arthur Martial Leplomb dit « Tutur » (1903-1986) est né à Péronne. Enfant du troisième mariage de son père, il avait des frères et sœur consanguins issus du second mariage; il avait aussi des frère et sœurs utérins (tous enfants illégitimes dont une branche est partie en Angleterre). C’était un picard installé à Paris où il était chauffeur de bus. | |
Geneviève Berthe Emilienne Traisnel (1907-1980) était essentiellement normande mais avec des petites ascendance en Mayenne et Ardennes. Elle était fille naturelle non reconnue d’un père Mort pour la France lors de la Guerre 14-18. Elle était poinçonneuse dans les bus parisiens. |
Ascendance en ligne
Afin de répondre à la demande de mes cousins proches, qui sont en fait peu nombreux – eh oui, je n’ai qu’une cousine germaine, ce qui m’a permis de développer des liens avec mes cousins issus de germains -, j’ai séparé mes articles du blog en 6 quartiers : deux pour l’ascendance paternelle de mes enfants et quatre pour mes 4 quartiers d’ascendance.
Mon ascendance est aussi présente sur :
Vous n’y trouverez pas mes collatéraux ni mes sources que je suis en train de corriger et compléter petit à petit.
Oh, j’avais loupé toutes ces photos !